Le collège national "Unirea"
Le XII ème E
Attestation
L'immigration
-entre tolérance et xénophobie-
Candidat:Pruneanu Sorina-Maria
Professeur:Antonescu Delia
Brasov
Table des matières
Introduction...................3
Définir les concepts ..................3
Causes......................3
Conséquences................... 3
La France et les immigrants.......... 17117i815r ...4
Dates statistiques..................5
La révolte des banlieues de novembre 2005.........6
Le président de la France, Nicolas Sarkozy, et les problèmes des immigrants.......... 17117i815r ........... 7
La mentalité des gens entre tolérance et xénophobie......9
Conclusion....................9
Annexes- l'Union européenne et les droits de l'homme- ..10
Bibliographie..................12
L'époque contemporaine confronte des problèmes assez graves qui tiennent non seulement de la politique et d'éthique, mais de la condition humaine de l'individu qui, malgré les découvertes scientifiques et l'évolution étourdi de la technique, n'a pas réussi à résoudre les constantes essentielles de nature interrelationnelle qui concrétise la vie sociale. Ainsi que ce thème représente un véritable défi pour découvrir les fines nuances -conflits psychologiques, idéologiques et physiques de la vie d'un allogène.
Définir les concepts
Emigration= Action de quitter son pays pour aller s'installer dans un autre, momentanément ou pour toujours.
Immigration= fait de immigrer)entrée dans un pays de personnes non autochtones qui viennent s'y établir,généralement pour y trouver un emploi
Tolérance= 1. fait de tolérer, de ne pas interdire, alors qu'on le pourrait; liberté qui résulte de cette abstention
2. attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de penser ou d'agir différente de celle qu'on adopte soi-meme.
Xénophobie= hostilité à ce qui est étranger.
Les causes:
Premièrement, il y a des raisons qui impliquent directement l'immigré, c'est-à-dire: raisons professionelles (mission de longue durée à l'étranger) et études; politiques (réfugié politique fuyant les persécutions); sécuritaires (notamment en cas de guerre dans le pays d'origine); économiques (habitant de pays pauvres chechant un meilleur niveau de vie dans les pays riches; éventuellement temporairement); personelles (volonté de s'installer dans un pays par gout, par exemple si l'on se reconnait parmi ses valeurs) familiales (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà instalé) fiscales (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)
Deuxièmement, l'immigration est une solution pour les pays où il y a un déficit des naissances ou, pour assurer d'une manière qualitative et quantitative la main-d'oeuvre insuffisante. Toutefois, l'immigration légale va au-delà des souhaits des pays d'arrivée et de leur accueil.
Les conséquences:
D'un part, il y a l'impact économique et budgétaire de l'immigration: d'après le prémier rapport annuel de la Commission européenne sur la migration et l'intégration, il est difficile d'obtenir une estimation fiable de la contribution budgétaire nette des immigrants soient soumis aux mêmes obligations fiscales que les Français. Mais la théorie et la pratique ne s'accordent pas. Pour exemplifier on fait référence à la population imigrée jeune qui aurait été être plus active d'une telle manière que la finalité de son activité serait le paye des impôts et la réception moins de prestations sociales. Leurs taux d'emploi faible annule l'incidence budgétaire bénéfique et produirait même des effets inverses. Ici sourgit un problème qui a des répercussions graves: l'immigration clandestine. Les employeurs bénéficient de la présence d'immigrés non qualifiés: les coûts pourraient être un peu plus élevés pour les autochtones non qualifiés, qui entrent en concurrence avec les immigrés. Toutefois les immigrés occupent souvent des emplois que les autochtones hésitent à accepter.
D'autre part, surgissent les problèmes sociaux et économiques (chomage, scolarisation, déliquence, criminalité) cause de la non acceptation de certains groupes d'origine étrangère qui ont été marginalisés, stigmatisés. Soit les immigrés ne parlent que leur langue et vivent seulement dans leur communauté d'origine, soit ils provoquent des empêchements d'intégration sur le marché du travail ils sont vus avec des regards qui ne dénotent pas de confience. Ainsi, les limites entre tolérance et xénophobie deviennent vraiment dubitatives.
La France et les immigrants
Le modelle d'intégration des immigrés en France repose sur l'adhésion à un contracte social « droit du sol » , conception dite « civique » par rapport à la conception « ethnique » (droit du sang) qui , pendant longtemps, fut notamment celle de l'Allemagne.
Historiquement, la tradition républicaine française est celle de l'assimilation. D'abord, ceux agglutinés par la société française depuis le début du XXème siècle ont été les anciennes premières grandes vagues d'immigration (Italiens, Polonais, Espagnols, Portugais). La provenance des migrants évolue rapidement : près des deux tiers viennent d'Afrique, en particulier de l'Algérie et du Maroc, contre un peu plus de la moitié il y a cinq ans. Les principaux pays sources de flux migratoire vers la France restent l'Algérie, le Maroc et les anciennes colonies françaises d'Afrique. Ces dernières années, les différents gouvernements, de droite comme de gauche, se sont efforcé de développer une politique d'intégration, en s'appuyant seulement sur l'acquisition de la nationalité française, les mariages mixtes, l'école, le logement, l'emploi etc. Si le premier point ne pose pas de problèmes particuliers (même si une partie comme le Front national et une fraction non négligeable de l'opinion considèrent que les pouvoirs publics accordent trop généreusement la nationalité française) les autres points suscitent souvent des vives inquiétudes. A l'école, les jeunes issus de l'immigration ont souvent assez de grandes difficultés pour mener à terme leur scolarité, en particulier dans l'enseignement général. D'où des manifestations de rejet de l'école, souvent accompagnées de violence verbale, voire physique. En matière de logement, des concentrations de populations immigrées se sont développées, engendrant des phénomènes, sinon des ghettos, du moins de quartiers dits »sensibles »(les « cités ») avec les conséquences que l'on connaît depuis quelques années (violence, délinquance, drogue, extrémisme religieux.). En ce qui concerne le chômage, les travailleurs immigrés sont davantage touchés (près de deux fois plus) que leurs homologues français (environ 20% contre 10% et plus de 30% pour les immigrés extra européens). A ces difficultés d'intégration économique et sociale s'ajoutent des problèmes d'ordre culturel (mentalités, modes de vie et bien sûr religion), qui engendrent des comportements pouvant aller de la discrimination (accès à l'emploi ou au logement) à la xénophobie ou au racisme. Au cadre de la loi de « cohésion sociale » qu'il a présentée en 2004, le gouvernement s'est fixé pour l'objectif de « révitaliser le modèle français d'intégration ».
Voilà quelques dates statistiques en ce qui concerne les domaines les plus difficiles pour les personnes d'origine étrangère :
Question : selon vous, quels sont, parmi les domaines suivants, ceux dans lesquels les personnes d'origine étrangère rencontrent le plus difficultés ?
rang |
||
La recherche d'emploi | ||
La recherche de logement | ||
L'école, les études | ||
L'entrée dans certains lieux publics (boîtes de nuit.) | ||
La vie privée (mariage avec des personnes d'origine française) | ||
Le niveau de salaire | ||
Sans opinion |
Un rôle central dans le contrôle de l'immigration l'occupe le Front National[1]. Selon le programme officiel pour l'élection présidentielle de 2007 du Front National, l'immigration en France s'insère dans un « déplacement mondial des populations pauvres du Sud vers le nord de la planète » ; les arrivées doivent être régulées. Le FN regrette les choix passés en matière de politique d'immigration (par exemple, la « première grande régularisation des clandestins » en 1981, l'institution progressive d'un « statut du clandestin » aidé (hébergement d'urgence, aide sociale à l'enfance, etc.), l'instauration d'un « droit du sol automatique » en 1994). Selon le Front National, ces décisions auraient été « un signal dramatique envoyé à tous les damnés de la terre que la France était prête à accueillir toute la misère du monde ». Dès lors, la France serait « culturellement menacée par l'immigration incontrôlée. ». Les principales revendications du FN sont : mise en ouvre de l'immigration zéro (suppression du regroupement familial, arrêt total de l'immigration de travail) ; suppression des « pompes aspirantes » (arrêt des « aides inconditionnelles aux clandestins », instauration de la « préférence nationale ») ; gestion de l'immigration concertée avec les pays d'émigration par accords bi- ou multilatéraux.
La révolte des banlieues de novembre 2005
Les
émeutes de 2005 dans les banlieues
françaises sont des violences urbaines qui ont commencé à Clichy-sous-Bois le octobre
puis se sont
répandues dans un grand nombre de banlieues
pauvres à travers la France.
L'état d'urgence a été déclaré le novembre
, puis prolongé pour
une durée de 3 semaines. Le 17 novembre, la police déclare être revenue en situation
normale Les
principales causes de la révolte des immigrants qui se trouvent dans les
banlieues sont sociales : cette violence est le fait d'une
minorité de jeunes qui expriment leur révolte face aux inégalités sociales et
aux discriminations dont ils souffrent. On peut aussi ajouter d'autre types de
causes; par exemple : des causes criminelles et/ou
économiques: une minorité de jeunes trafiquants fomentent des incidents pour
profiter du désordre afin de faire peur aux citoyens et dissuader la police
d'intervenir, ce qui leur permet de régner sur un territoire où ils peuvent
s'adonner à leur trafic et vols divers. Les mauvais rapports entre les jeunes et les
policiers, la présence massive des CRS dans les quartiers, le comportement de
certains policiers exaspèrent certains jeunes, ce qui les pousse à se révolter.
Les médias sont attirés par le spectacle des violences, ils sont friands des
thèmes qui font peur, et avec le développement de la tv-réalité, certains jeunes
profitent de ces émeutes pour prouver qu'ils existent voyant le soir les télés
parler d'eux et de leurs agissements. Cet effet TV-miroir se conjugue alors au
désir des jeunes d'éprouver une montée d'adrénaline dans la participation à ce
qui leur paraît comme une activité festive.
Des causes culturelles, l'incapacité de certains parents à structurer leurs
enfants dans une société dont ils ne maîtrisent pas tous les codes. Les jeunes
recherchent alors dans les bandes une sécurité et une certaine manière de se
structurer, ce qui les conduit aux phénomène de gangs et donc de violence.dans
ce cas-là la dèvise « liberte;
egalité; fraternite » ne reste qu'une illusion, car les immigrants qui
habitent dans les banlieues sont marginalisés, stigmatisés. Cette « belle
instigation » est anullée par des notions antagonistes comme :
« délinquance »; « incivilité »; « désintégration
culturelle ».
À la suite des émeutes dans les banlieues d'octobre et novembre 2005, on a avancé des discours qui reposent sur une théorie causale très simple, peut-être même sommaire, du comportement violent. Cette théorie est partagée par les uns et les autres. Elle a quelquefois été sollicitée pour expliquer également la délinquance des jeunes. Elle a le statut de ce que des chercheurs appellent une « théorie publique ». Cette théorie pose que la désespérance des jeunes (ou une notion équivalente : détresse, exaspération ou ras le bol sociaux) est la cause directe de la violence et que, par conséquent, les causes de la désespérance sont aussi par transitivité celles de la violence, comme si cette désespérance ne pouvait que s'extérioriser dans la violence, sauf dans les cas où celle-ci est réprimée par les familles et les institutions.
Le président de la France, Nicolas Sarkozy, et les problèmes des immigrants
Nicolas Sarkozy prône la « tolérance zéro » et annonce que les immigrés illégaux qui ont participé aux émeutes seront expulsés du territoire. Alors qu'une partie de la gauche réclame la démission du ministre et que certains médias entament une campagne contre lui, un sondage annonce qu'une majorité des Français lui est favorable.
Au terme de ces émeutes, sur les 2734 personnes placées en garde à vue, 597 personnes ont été incarcérées et une a été expulsée. Outre la dureté des affrontements et les dégâts considérables - évalués à plusieurs dizaines de millions d'euros - qu'engendrèrent les émeutiers par la destruction d'écoles, de bibliothèques et d'entreprises ou par l'incendie de véhicules automobiles, on dénombra un mort et une blessée grave.
Selon Nicolas Sarkozy, les émeutes sont le fait de « bandes organisées », de « véritables mafias ». Un rapport des Renseignements généraux rendu public suggère, quant à lui, une « révolte populaire des cités » spontanée, due à la condition sociale des émeutiers et non à leur origine ethnique ou géographique, ajoutant que réduire ces événements « à de simples violences urbaines serait une erreur d'analyse ».
Loi relative à l'immigration et à l'intégration
Cette loi, engagée par Nicolas Sarkozy en 2006, propose une évolution significative du droit de l'immigration en France. Elle se présente comme l'instrument de la mise en ouvre d'une « immigration choisie au lieu d'une immigration subie ». Elle se concentre sur deux points :
Durcissement des conditions de régularisation des sans-papiers et du regroupement familial. La Ligue des droits de l'Homme et le Réseau éducation sans frontières, qui luttent depuis 2004 contre l'expulsion de France d'enfants mineurs scolarisés ayant des parents « sans-papiers », qualifient ces mesures de « régression sécuritaire » et Nicolas Sarkozy de « ministre de la Chasse aux enfants ». Début juin 2006, le ministre donne des directives pour que des familles de ce type soient régularisées. D'après le RESF , 80 % des personnes visées ne sont pas concernées par ces nouvelles directives. Au cours de l'été, Nicolas Sarkozy annonce 6000 régularisations, soit un cinquième des demandes. Parmi les réactions, Jack Lang déplore qu'il ne s'agisse pas d'une régularisation massive, comme dans d'autres pays européens, tandis que Philippe de Villiers exprime son refus des régularisations et son souhait d'expulser tous les immigrés illégaux. Le ministre annonce des régularisations limitées en nombre et étudiées au cas par cas.
Retour à une politique officielle d'immigration de travailleurs dans plusieurs secteurs de l'économie (, restauration, travail saisonnier, vente, informatique, etc.). Plusieurs dirigeants africains s'élèvent contre cette proposition, dont le président sénégalais Abdoulaye Wade, qui estime qu'il s'agit d'un « pillage des élites ». Nicolas Sarkozy se rend au Sénégal et au Mali pour tenter d'expliquer sa loi, mais il est chahuté et accusé de racisme. Finalement en septembre 2006, il signe avec Abdoulaye Wade un accord sur une politique d'immigration concertée.
La mentalité des gens entre tolérance et xénophobie
D'une part, les gens sont conscientes qu'ils doivent être permissifs avec les nouveaux venus auxquelles ils doivent offrir leur appui, en les acceptant « tale, quale » leurs coutumes, leurs moyens de vivre etc. Cette tolérance implique une interdépendance car, les étrangers, a leur tour, sont obligés a se soumettre aux lois du pays dont ils ont immigré, d'essayer également a s'adapter a une nouvelle civilisation.
D'autre part, intervient la vie quotidienne qui démasque ses réalités immanentes. Des termes comme discrimination, discrimination positive, xénophobie (avec son résultat extrême : le racisme) sont de plus en plus véhiculés dans notre société soumise a une procustisation (procustizare) acide. Les citoyens se sentent harcelés des grands vagues d'immigrants et dans cet état de confusion ils ne savent plus comment agir.
Donc, les « frontières » qui s'imposent entre tolérance et xénophobie sont relatives car l'immigration catalyse les problèmes d'ordre économique, social, cultural auxquels nous n'avons pas trouvé jusqu'à ce moment-là une solution objective.
ANNEXES
L'Union Européenne et Les Droits De l'Homme
Avant qu'elle ne se concrétise en un véritable projet politique, l'idée européenne resta limitée au cercle des philosophes et des visionnaires. La perspective des «États-Unis d'Europe», selon la formule de Victor Hugo, correspondait à un idéal humaniste et pacifique. Les tragiques conflits qui brisèrent le continent durant la première moitié du XXe siècle lui ont apporté un brutal démenti.
Il a fallu attendre les réflexions issues des mouvements de résistance au totalitarisme, pendant la Seconde Guerre mondiale, pour voir émerger un nouvel espoir: dépasser les antagonismes nationaux, créer les conditions d'une paix durable. Une poignée d'hommes d'État courageux, tels Robert Schuman, Konrad Adenauer, Alcide De Gasperi, Winston Churchill, se sont engagés entre 1945 et 1950 pour convaincre leurs peuples d'entrer dans une ère nouvelle: celle d'une organisation structurée de l'Europe de l'Ouest fondée sur des intérêts communs, garantie par des traités assurant l'égalité de chaque État et le respect du droit.
Robert Schuman (ministre des affaires étrangères du gouvernement français) a repris une idée de Jean Monnet et, le 9 mai 1950, a proposé la création d'une Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). Placer sous une autorité commune, la Haute Autorité, la production du charbon et de l'acier de pays autrefois ennemis avait une grande portée symbolique. Les matériaux de la guerre se transformaient en instruments de réconciliation et de paix.
L'Union veut promouvoir une vision humaniste et progressiste de l'homme, placé au cour d'une révolution de la planète, qu'il lui appartient de maîtriser et non de subir. Les seules forces du marché ou le recours à l'action unilatérale ne peuvent garantir la satisfaction des besoins des peuples.
L'UE est donc porteuse d'un message et d'un modèle auxquels ses citoyens adhèrent en grande majorité. Les droits de l'homme, la solidarité sociale, la liberté d'entreprendre, le partage équitable des fruits de la croissance, le droit à un environnement protégé, le respect des diversités culturelles, linguistiques et religieuses, l'harmonieuse synthèse entre la tradition et le progrès constituent pour les Européens un véritable patrimoine de valeurs.
La Charte des droits fondamentaux de l'UE, proclamée à Nice en décembre 2000, énumère tous ceux dans lesquels les vingt-cinq États membres et les citoyens se reconnaissent aujourd'hui. Ce patrimoine rassemble les Européens quand ils se comparent au reste du monde. Par exemple, la peine de mort est abolie dans tous les pays de l'Union.
L'interdépendence qui se forme entre l'Union Européenne et les Droits des Hommes est essentielle.Pour pouvoir accomplir sa devise-,unité en diversité'-on doit necessairement réspecter les coutumes imposées par'La charte des droits fondamentaux de l'Union Européenne'.C'est vraiment difficile coller ces idées utopiques à la réalité,car la condition humaine a ses ,règles naturelles' qui ne s'interfèrent toujours avec elles.
En ce qui concerne, Les Droits de l' Homme font référence seulement à quelques articles qui ont comme sujet l'égalité, la discrimination et la libérté:
Article 20. Egalité en droit
Toutes les personnes, hommes et femmes, sont égales en droits.
Article 21. Egalité et non-discrimination
1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les origines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convictions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l'appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle.
2. Dans le domaine d'application du traité instituant la Communauté européenne et du traité sur l'Union européenne et sans préjudice des dispositions particulières des traités, toute discrimination fondée sur la nationalité est interdite.
Article 22. Egalité entre hommes et femmes
L'égalité des chances et de traitement entre les hommes et les femmes en matière d'emploi et de travail, y compris l'égalité de rémunération pour un même travail ou pour un travail de valeur égale, doit être assurée.
Article 8. Protection des données à caractère personnel
Toute personne a droit à la protection des données à caractère personnel la concernant. Ces données doivent être traitées loyalement, pour des finalités déterminées et sur la base du consentement de la personne concernée ou en vertu d'un autre fondement légitime prévu par la loi. Toute personne a le droit d'accéder aux données collectées la concernant et d'en obtenir la rectification. Le respect de ces règles est soumis au contrôle d'une autorité indépendante.
Bibliographie
https://www.liberation.fr/actualite/politiques/286883.FR.php
https://www.histoire-immigration.fr/index.php?lg=fr&nav=203&flash=0
https://www.bayrou.fr/propositions/immigration.html
https://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080315/tts-france-immigration-ca02f96_1.html
https://www.monde-diplomatique.fr/index/sujet/immigration
https://www.monde-diplomatique.fr/2007/07/LIAUZU/14941
https://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/IP1042.pdf
https://www.monde-diplomatique.fr/2006/08/DUCLOS/13741
https://liberalisme-democraties-debat-public.com/spip.php?article58
label france, n˚ 65, 1ère trimestre 2007
le nouveau PETITE ROBERT DE LA LANGUE FRANCAISE 2008
Le Front national, ou FN, est un parti politique français nationaliste, fondé en octobre et présidé, depuis lors, par Jean-Marie Le Pen. Son nom complet, à l'origine, était Front national pour l'unité française (FNUF).
Le Réseau éducation sans frontières, ou RESF, est un réseau composé de collectifs, de mouvements associatifs, de mouvements syndicaux et de personnes issues de la société civile militants contre l'expulsion d'enfants scolarisés en France liée à celle de leurs parents en situation irrégulière
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