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De la théorie a la practice La banque

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De la théorie a la practice La banque

La banque est une entreprise: exemple, la banque UTOPIA



Attention !

C'est de la pratique, mais avec de chiffres fictives.

Dénomination: BANQUE UTOPIA

Forme juridique: Société à capital d'état, enregistrée auprès du Registre du Commerce sous le numéro unique RC J45/85/N-7 code unique 717580

Siège social: 3, bvd. Argent, Utopia

Capital social

Possesseurs d'actions

Capital social détenu

équivalent mille LEI

dont mille USD

Actionnaire 1

Actionnaire 2

Actionnaire 3

Actionnaire 4

Actionnaire 5

Actionnaire 6


Le domaine principal d'activité autorisé par la Banque Nationale

La Banque a comme domaine principal d'activité l'attraction et la formation de dépôts monétaires, en lei et en devises, provenant des personnes physiques et morales, de Roumanie et de l'étranger ; l'octroi de crédits à court, moyen et long terme ; l'exécution de services bancaires, des opérations concernant l'activité de commerce extérieur, de même que d'autres opérations bancaires, conformément à la loi (code CAEN 651).

Conformément à l'autorisation donnée par la Banque Nationale de Roumanie, la Banque UTOPIA a le suivant objet d'activité :

L'acceptation de dépôts en lei et en devises, provenant des personnes physiques et morales, roumaines et étrangères (code CAEN 6512) ;

L'octroi de crédits en lei et en devises, des opérations d'affacturage (factoring) et l'escompte des effets de commerce, y compris le forfaitage (code CAEN 6512) ;

L'émission et la gestion des instruments de paiement et de crédit (code CAEN 6512) ;

Des paiements et des décomptes (code CAEN 6512) ;

L'émission de garanties et la prise d'engagements (code CAEN 6512) ;

Des transactions en compte propre ou pour le compte des clients avec des instruments monétaires négociables, avec des devises, des métaux précieux et des objets réalisés de ces derniers, avec des titres d'état (code CAEN 6512) ;

L'action comme agent intendant pour des valeurs mobilières (code CAEN 6512) ;

Le déroulement d'activités de dépôt pour des fonds ouverts d'investissements et des sociétés d'investissements (code CAEN 6512) ;

La location de cassettes de sécurité (code CAEN 6512) ;

Consultance financière bancaire (code CAEN 6713) ;

Opérations de mandat :

La distribution des titres de participation des fonds ouverts d'investissements et des actions des sociétés d'investissements (code CAEN 6523) ;

La réalisation d'opérations concernant l'exécution de caisse du budget d'état, dans les limites du mandat reçu (code CAEN 6512) ;

La négociation et la conclusion de contrats d'assurance et de réassurance pour les sociétés d'assurance et/ou de réassurance, ainsi que la prestation d'autres services concernant la conclusion et l'exécution de tels contrats, conformément à la Loi no.47/1991, art.1, alinéa 2 (code CAEN 6720).

Activités connexes :

La réalisation et la fourniture de programmes informatiques pour l'activité propre (code DAEN 7220) ;

Des prestations de services pour la clientèle : l'évaluation des biens mobiliers et immobiliers, en vue de leur admission dans la garantie des emprunts ; l'analyse des documentations technico-économiques et des études de préfaisabilité et de faisabilité des clients, en vue d'accorder des crédits d'investissements (code CAEN 6713) ;

Des opérations de collecte et de transport de numéraire vers les clients et provenant des clients, par l'intermédiaire des véhicules de transport de valeurs de la banque (code CAEN 6024) ;

La vente des imprimés spécifiques à l'activité bancaire envers les clients de la banque (code CAEN 6713) ;

La réalisation de transactions avec des biens meubles et immeubles dans l'exécution des créances de la banque, ainsi que la vente d'immeubles aux salariés, dans les conditions de la loi (code CAEN 7012) ;

La location de certains espaces devenus disponibles dans les immeubles de la banque (code CAEN 7020) ;

L'organisation et la réalisation de la formation professionnelle du personnel dans les centres propres de formation, y compris l'assurance des services de logement et de restauration (code CAEN 8042) ;

L'assurance des services de logement et de restauration pour les salariés et leurs familles dans les centres de formation, pendant les périodes où on ne déroule pas de cours professionnels (code CAEN 5511) ;

L'assurance des services de constitution et d'enregistrement dans l'Archive Electronique des garanties réelles mobilières pour les crédits et les lettres de garantie octroyés aux clients de la banque (code CAEN 6713).

Les normes de la Banque Nationale réglementent les problèmes qui visent la création, le fonctionnement et les problèmes de réglementation de l'activité des banques commerciales.

Pour le déroulement de son activité, la banque constitue les fonds suivants :

le fonds de réserve ;

le fonds de risque ;

d'autres fonds prévus par la loi ;

Les fonds de la banque sont constitués du profit annuel, conformément aux réglementations légales, et peuvent être utilisés avec l'accord de l'Assemblée Générale des Actionnaires pour le financement de certaines actions économiques, des financements en devises et d'autre nature auxquels la banque est intéressée, ainsi que pour la couverture de certaines pertes.

Les chiffres clés au 31 décembre, l'année N

En année N, le résultat net de la banque était de 3.227 md lei, en progression réelle par rapport à l'année N-1.

ROE : 22.38%

ROA:3,78%

Total bilan:75.467 Md LEI

Capitaux propres:19.758 Md LEI

Le produit net bancaire (PNB) est calculé par différence entre les produits bancaires et les charges bancaires (activité de prêt et d'emprunt ; opérations sur titres, change, marchés dérivés). Il mesure la contribution spécifique de la banque à l'augmentation de la richesse nationale et peut en cela être rapproché de la valeur ajoutée dégagée par les entreprises non financières.

Le résultat d'exploitation est égal à la différence entre le produit d'exploitation et les charges d'exploitation. Le coefficient d'exploitation a baissé, illustrant ainsi l'amélioration de la productivité. Le coefficient d'exploitation constitue un solde très important puisqu'il montre la capacité d'une entreprise à réaliser des bénéfices du fait de son activité de production.

Le résultat d'exploitation intègre l'incidence de la politique commerciale, la gestion des achats, l'organisation de la production et la gestion du personnel, l'incidence de la politique d'investissement et l'incidence des risques d'exploitation.

Produits

Charges

Solde

Produits d'exploitation

Charges d'exploitation

Résultat d'exploitation

Produits financiers

Charges financières

+/- Résultat financier

= Résultat courant avant impôts

Produits exceptionnels

Charges exceptionnelles

+/- Résultat exceptionnel

Total des produits

Total des charges

= Résultat de l'exercice

COMPTE DE RESULTATS (en Mld Lei)

Données de la Banque Utopia

N

N-1

N-2

Produits totaux

Charges totales

Résultat brut

Impôt sur société

Résultat net

Répartition du résultat net

- fonds de réserve

- réserve générale pour le risque de crédit

- autres réserves (conversion et différences de réévaluation)

- les dividendes

BILAN (en Mld Lei)

N

N-1

N-2

Actifs, dont:

Dépôts bancaires

Comptes courants aux banques, dont:

Créances

Titres de placement

Titres de transaction

Immobilisations en-cours et autres immobilisations

Autres actifs

Passifs, dont:

- Emprunts auprès des banques

- Comptes courants clientèle

- Comptes de dépôt clientèle

- Capitaux propres, assimilés et provisions

Autres passifs

Comme on a vue dans le chapitre précèdent, en principe, la banque accomplit 3 métiers principaux :

elle met les dépôts en sécurité et fait fructifier l'épargne,

elle accorde des crédits,

elle gère et met à la disposition des moyens de paiement (carte, chèque, virement, prélèvement, argent liquide).

Pour faire ces métiers, la banque a besoin :

de personnel qualifié,

d'équipements informatiques,

de locaux et - pour la plupart des banques - de nombreuses agences pour être proche du public,

de fournitures diverses.

On va voir la situation de ressources humaines.

L'évolution du nombre de personnel

N-2

N-1

N

Nombre

Nombre

Nombre

Total

Centrale

Unités territoriales

La structure du personnel selon le niveau d'études

N-2

N-1

N

Nombre

Nombre

Nombre

Total

Supérieures

Moyennes

La structure du personnel selon l'âge

N-2

N-1

N

Nombre

Nombre

Nombre

Total

Entre 18-30 ans

Entre 31-45 ans

Entre 46-50 ans

Plus de 50 ans

La structure du personnel selon le sexe

N-2

N-1

N

Nombre

Nombre

Nombre

Total

Femmes

Hommes

La présentation de la structure du personnel selon le niveau d'études, l'âge et le sexe, fournit les informations suivantes :

1. le personnel ayant des études moyennes est dominant, ce qui n'est pas réjouissant parce que la spécialisation strictement sur l'activité déployée quotidiennement mène à la limitation des connaissances (l'effet de tunnel), au plafonnage du personnel et à la collaboration défectueuse tant avec les autres services qu'avec les clients. L'élimination de cette déficience peut être réalisée graduellement par l'amélioration du niveau d'études ou par des participations à des différents cours connexes à l'activité déroulée dans le poste.

2. le personnel avec un âge compris entre 46 et 50 ans et représentant 43,19% du total mène à la conclusion que la banque a un personnel vieilli ; on recommande qu'au fur et à mesure des retraites effectuées on embauche de jeunes gens avec des études supérieures.

L'évaluation du personnel est faite par l'intermédiaire des tests périodiques, tant professionnels que psychologiques.

Le résultat de l'évaluation se reflète dans le qualificatif obtenu par chaque salarié, à la fin de l'année.

Les coûts

Tous ces éléments nécessaires à son activité, la banque doit les payer : salaire de ses employés, facture de ses fournisseurs, amortissement des équipements.

La banque a également besoin d'une matière première : l'argent. Cet argent, la banque doit également l'acheter, car les dépôts des clients sur leur compte de chèques ne peuvent financer qu'une petite partie des crédits nécessaires à l'économie.

Pour payer toutes ces dépenses, la banque doit impérativement gagner de l'argent, comme n'importe quelle entreprise. Comment ?

Elle a le choix entre deux solutions :

1. soit revendre l'argent plus cher qu'elle ne l'achète.

Elle gagne alors sa vie à la manière d'un commerçant, c'est à dire sur la différence entre le prix de revient et le prix de vente de ses marchandises,

2. soit facturer directement au client le travail qu'elle accomplit pour son compte (gestion de l'épargne, opérations sur le compte-chèques, édition de relevés de compte, conseil, exécution de formalités) ou les moyens qu'elle met à sa disposition (carte, distributeurs, minitel). La banque gagne alors sa vie à la manière d'une entreprise de services.

Jusqu'en 1985, les banques vivaient essentiellement à la manière de commerçants, c'est à dire en répercutant leurs coûts sur le prix de vente de leurs crédits.

Tous les frais de fonctionnement du système bancaire étaient alors payés par les particuliers ou les entreprises qui empruntaient de l'argent.

Cette situation, héritée du passé, était injuste :

le client qui utilisait abondamment les services de la banque ne payait rien,

le client qui utilisait peu les services de la banque, mais prenait un crédit, payait non seulement pour lui-même mais aussi pour le client non emprunteur.

Cependant, ce système était à l'époque supportable, pour trois raisons :

1. En France, par exemple, il y a 25 ans, chaque français plaçait environ 60% de son épargne sur un compte bancaire, généralement un compte de chèques non rémunéré. Les Français mettant gratuitement des sommes importantes à la disposition de l'économie, les banques pouvaient incorporer leurs coûts dans les prix du crédit sans que ces prix atteignent des niveaux insupportables pour les emprunteurs.

2. Les Français ne payait pas les services bancaires, mais, comme on vient de le voir, ils acceptaient en contrepartie que leur épargne soit peu rémunérée.

3. L'activité bancaire étant fortement réglementée, il y avait peu de différences entre les services et produits proposés par les différentes banques.

En outre, les services bancaires étaient, jusqu'à la fin des années 70, assez réduits :

pas de guichets automatiques permettant de retirer de l'argent 24h/24,

pas de gestion de compte en temps réel (ni minitel, ni Internet, ni consultation ou opérations au guichet automatique, pas de service téléphonique)

offre de crédit réduite et standardisée,

peu de produits d'épargne.

Les organismes de placement collectif rendant la bourse accessible au plus grand nombre et les conseils financiers personnalisés étaient beaucoup moins développés qu'aujourd'hui.

De la banque administrée, à la banque concurrentielle

Il y a encore 20 ans, les Français considéraient leur banque comme un service public et estimaient - déjà à tort - que la concurrence y tenait peu de place.

Après 1984, l'encadrement administratif du crédit et de l'épargne a été allégé ou supprimé. Désormais en situation de concurrence, les banques se sont mises à proposer des produits d'épargne et de crédit répondant aux vrais besoins exprimés par la clientèle.

Aujourd'hui, la banque fait beaucoup plus pour ses clients qu'elle ne faisait autrefois et il est normal d'en payer la contrepartie :

elle rémunère l'épargne grâce à un grand nombre de produits soit réglementés par les pouvoirs publics soit élaborés par elle ;

elle permet à tout client d'être en prise directe et quotidienne avec son compte bancaire, le cas échéant sans sortir de chez lui grâce au minitel, au téléphone, au portable ou à Internet ;

elle propose des moyens de paiement plus performants et plus sûrs. Certains restent gratuits (chèque) et d'autres sont peu coûteux, en regard des services qu'ils rendent.

Désormais affranchie des contraintes d'encadrement du crédit :

elle propose une gamme de prêts permettant de couvrir la totalité des besoins, depuis la trésorerie et la consommation, jusqu'à l'achat d'une résidence,

elle a atteint un niveau de qualité dont peu de professions peuvent se targuer.

Cette transformation du service bancaire a profité à la plupart des clients en améliorant à la fois leurs revenus et leur confort.

Mais ces progrès vont de pair avec une transformation des conditions dans lesquelles les banques exercent leur activité.

L'argent dont elles ont besoin pour le crédit n'est plus, ou presque plus, gratuit. En effet, pour la banque, rémunérer votre épargne équivaut à vous acheter votre argent.

Certes, les dépôts des comptes de chèques échappent à cette logique.

Mais ils ne constituent plus qu'environ 10% des avoirs financiers des Français, qui utilisent largement les possibilités offertes par les banques en matière d'épargne.

Le métier de banquier est devenu plus technique et plus complexe:

plus technique

Les banques sont devenues le premier client des entreprises informatiques. Toutes les prestations évoquées précédemment (gestion des Sicav, gestion des comptes à distance, paiements modernes.) n'existent que parce que les banques ont mis en place des systèmes informatiques et des réseaux extraordinairement fiables et puissants;

plus complexe

Le banquier moderne doit consacrer beaucoup plus d'efforts qu'auparavant à connaître ses clients et ses produits. Son rôle a évolué en matière de conseil, mais aussi en matière d'évaluation des risques puisque l'offre de crédit et la clientèle concernée se sont élargies.

La banque n'est riche que de l'argent de ses déposants. Elle doit donc prêter cet argent avec d'autant plus de discernement que les possibilités de crédit sont nombreuses.

Ces évolutions, contreparties du progrès, ont un coût.

Faut-il le faire supporter, comme c'était le cas précédemment, par les emprunteurs ?

Certainement pas.

Les banques, en affectant l'argent des uns aux projets des autres, sont les garantes du bon fonctionnement de l'économie et font désormais payer les services par ceux qui les utilisent.

Répercuter la totalité des coûts de l'activité bancaire sur les prix du crédit serait insupportable pour les emprunteurs : les entreprises cesseraient d'acheter des machines, perdraient leur compétitivité, et beaucoup feraient faillite.

Quant aux particuliers, soit ils cesseraient d'emprunter (et donc d'acheter des maisons, des voitures et tout autre bien de consommation), soit ils seraient écrasés sous le poids de leurs dettes. Ainsi, l'économie toute entière serait paralysée.

C'est pourquoi les banques ont désormais tendance à instaurer plus de vérité dans leurs prix en faisant payer une partie des services bancaires par ceux qui les utilisent réellement.

Dans la majorité des cas, ces facturations correspondent à des services nouveaux. Carte bancaire incluse, le total des services bancaires ne représentaient qu'environ 1% des dépenses de consommation d'un ménage moyen.

Pourtant, ces facturations sont mal comprises par certains. Sans doute ne veulent-ils voir que le revers de la médaille. Car c'est un inconvénient bien modeste en regard des quatre progrès essentiels accomplis grâce aux banques :

amélioration du revenu des épargnants,

amélioration du confort de tous les clients,

amélioration de la fiabilité du service bancaire,

maintien, malgré la sévérité du contexte financier, de taux de crédit supportables par les emprunteurs.

Lorsqu'on bénéficie d'avantages nouveaux, il n'est pas anormal d'en payer le prix.

L'information

La banque informe de ses prix en toute transparence, pour permettre la comparaison. Elle édite notamment des brochures indiquant en détail les conditions appliquées aux principales opérations bancaires.

De plus, la relation entre la banque et son client repose sur un contrat. Toute contestation ultérieure sur le coût des services devra tenir compte des termes de ce contrat.

En consultant les brochures, on constate que de nombreuses opérations, qui entraînent des coûts réels pour la banque, sont peu coûteuses.

De même, beaucoup de courriers sont adressés gratuitement, alors que les banques sont le principal client (pour l'activité courrier) de la poste

Nous constatons aussi que la plupart des opérations courantes sont en réalité facturées dans le cadre de prestations forfaitaires avantageuses, soit d'un prix unitaire très modique. Les exceptions sont les « prestations » qui n'ont

Normalement pas lieu d'être, comme le rejet d'un chèque ; de telles opérations sont facturées plus lourdement. Elles entraînent en effet, pour la banque, une procédure ponctuelle contraignante. De plus, il y a de différences entre pays en ce qui concerne les prix pratiques, mais les chèques et les retraits dans des guichets automatiques (autres que ceux de votre propre banque) seraient généralement payants

L'analyse de la rentabilité

Comptes de résultat pour les exercices arrêtes ; Au 31 décembre N/N-1

(Montants  en millions LEI en pouvoir d'achat au 31 décembre N)

31.12. N

31.12. N-1

Produits d'intérêts

Produits d'intérêts pour crédits

Produits d'intérêts pour dépôts

Produits d'intérêts pour bons du Trésor

Total produits d'intérêts

Charges d'intérêts

Charges d'intérêts pour dépôts

Charges d'Intérêts pour autres fonds empruntés

Total charges d'intérêts

Produits net des intérêts

Charges de provisionnement

Produits nets d'intérêts après provision pour perte

Autres produits que ceux d'intérêts

Commission et frais bancaires, net

Produits de change, net

(Pertes) Produits de participations

Autres produits

Total autres produits que ceux d'intérêts

Produits avant autres charges que celles d'intérêts

Autres charges que celles d'intérêts

Charges de contribution au Fonds de garantie des Dépôts

Salaires et charges

Charges d'amortissement

Autres charges

Total autres charges que celles d'intérêts

Profit net de l'activité

Perte sur la position monétaire nette

Profit avant l'impôt

Charges d'impôts sur sociétés

Charges d'impôts courant sur sociétés

Charges d'impôts différés sur sociétés

Total charges d'impôts sur sociétés

Profit net de l'exercice, avant distribution

Gain par action (339.690.304 actions équivalentes)

Situation financière et résultats base sur l'analyse du bilan et du compte de profit et perte (banque Utopia)

Les actifs du bilan

L'évolution des 3 catégories principales de placements :


Conclusions:

le crédit bancaire est le principal placement, il augmente constamment ;

les titres d'état ont la dynamique la plus petite, voire en décroissance ;

les disponibilités et les dépôts à d'autres banques touche le niveau le plus élevé en N-2, ceux-ci étant en décroissance.

La croissance des immobilisations est due aux réévaluations des actifs fixes.

Les immobilisations financières représentent les titres de participation de la banque à des sociétés bancaires et non bancaires.

La banque n'a pas eu de politique de participations agressive, mais modérée, appropriée à ces années, quand la lutte a été portée plutôt pour l'obtention de capital absolument nécessaire aux opérations bancaires et moins pour le placement de ce capital dans d'autres unités économiques ou financières.

Les passifs du bilan

emprunts des autres banques 

dépôts 

certificats de dépôts 

capitaux propres


L'analyse de la rentabilité par la méthode des ratios

Ratio de la rentabilité commerciale, Rc

Indicateur (mille lei)

N-2

N-1

N

Produit Net Bancaire (chiffre d'affaires net) CA

Résultat Brut d'Exploitation RBE

Résultat d'Exploitation RE

Résultat Net Comptable

Résultat Net (Re)

Ratio de rentabilité commerciale

RE/CA*100

Re/CA*100

Le ratio de rentabilité commerciale a de différentes valeurs en fonction des indicateurs pris en considération dans le calcul de cet indicateur. Il est a remarquer que la banque dégage une très forte rentabilité commerciale et qui a également une excellente dynamique.

De point de vue de l'activité bancaire, le plus représentatif ratio de rentabilité commerciale est celui calcule en divisant le résultat d'exploitation (nomme résultat brut par la banque) par le chiffre d'affaires bancaire dégage lors de l'exercice financier, a savoir le produit net bancaire.

Ratio de la rentabilité économique, Re

Indicateur (mille lei)

N-2

N-1

N

Actif total AT

Actifs immobilises Ai

Actifs circulant

Résultat Brut d'Exploitation RE

Résultat Net Comptable

Résultat Net (Re)

Ratio de rentabilité commerciale

RE/CA*100

Re/CA*100

Produits et charges

L'évolution des résultats de la banque est présentée ci-après :

Milliards de lei

N

N-1

N-2

Produit net bancaire

Frais généraux

Résultat brut d'exploitation

Coût net du risque bancaire

Résultat exceptionnel

Impôts sur les sociétés

Profit net


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