Michel de Montaigne
Il représent la pont, la liaison entre la pensée antique dont il reprend les enseignements de la phylosophie sceptique et de l'épicurisme et l'époque moderne - la Renaissance.
Son ouvre
Il parle comme Socrates dans ce demarche de connaître l' autre; il parle de lui même: "Connais-tu, toi même!"(idée fondamentale) - on 16516w2212q peut connaître l'autre en se mettant dans la poie de l'autre.
Dans l'avant propos de son ouvre, il dit: "Ainsi lecteur je mis moi-même la matière de mon livre". Mais chacun de nous se reconnait en Montaigne parce que chaque homme porte l'humaine condition.
Il passe d'un modèle général humaine à l'homme vivant en chaire et os. Il considère l'homme un mouvement avec tous ses états phsyques et psychologiques.
Le titre
coup d'essais (tentative)-prin ac.opera încerc ceva;
mis à l épreuve
Il a été repris par le philosophe englais Bacon.
De toute façon le titre, comme l'ouvre a marqué la conscience de l'époque.
Selon le modèle antique de la Renaissance, au centre de cette ouvre c'est l'homme. Tandis que les moralists de ce siècle représentaient l'homme en général, Montaigne choisit un individu, elui qu'il connait le mieux, et affirme la valeur universelle de son analyse (parce que chaque homme porte la forme de l'humin condition).
Il s'étudie dans le rapport étroit entre le physique et le psychologique. Il regarde l'homme naturelment instable dont l'être profond se modifie sans cesse.
Le style
Le style est aproprié à sa façon d'envisager les choses, expériences de sa vie. Il devienne un reflet parfait de ses pensées.
L'idéal de vie que Montaigne exquise dans le troixieme livre, prendra au siècle suivant (XVII) un nome, celui de l'honnête homme( sintagma ce caract.sec.XVII)
L̀̀art de Montaigne
Il existe un lien manifeste entre les idées pédagogiques de Montaigne et sa conception de l΄art littéraire:dans l'un et l'autre cas, il se défie e la rhétorique et du faux billant; instruction doit favorier l'éanouissement de la personnalité: celle-ci à son tour se traduira dans le style.Enfin telle page, d'intention pédagogique, définit à merveille le profit qu´il tire lui même de ses lectures.
A mains égars, Montaigne annonce la doctrine clssique. Le style doit servir la pensée et non la régenter. Le but a atteindre est très élevé: il faut donc être exigeant envers soi-même. Les anciens montrent le chemin, mais on ne saurait prétendre les égaler. Montaigne juge les Essaissans aménité, et son style avec une sévérité parfois excesive.
Mais, tandis que Boileau confondra raison et nature, Montaigne donne le pas à la nature sur la raison. En écrivant il est fidèle à son tempérament. Le naturel consiste pour lui en un laisser-aller apparent: pas de compostion rigureuse; une anecdote n amène une autre, une disgression vient se grefer sur un raisonnement. Nul n´est moins compassé, moins pédant. Et il a très bien senti lui même le prix de son originalité: il sait que cette allure primesautière des Essais leur confère le chame de la poèsie et de la vie, C'est à dire une jeunesse toujours nouvelle.
Montigne n'est pas un puriste: comme son maître Socrate, il ne craint pas de parler le langage des arisans; qunt le français lui paraît pauvre, il appelle le gascon à la rescousse. Mais il savoure l'expression exacte et frappante comme il devait goûter le bon vin. Les mots ont pour lui une couleur, et vraiment un goût, qu'il a su nous faire apprécier à notre tour. Par sa pensée est constamment relevée par des comparaisons familières, des images poétiques, des métaphores vigoureuses.Il n'est peut-être pas d'écrivain chez qu'il soit aussi difficile de distinguer l'art conscient du don naturel.
Nous groupons ici quelques passages caractéristiques, mais, évidemmant, chaque page de Montaigne aide à goûter son art e à en pénétrer.
Montaigne et sa philosophie
La pensée de Montaigne était trop nuancée pour s'accommoder d'un système philosophique ou pour bâtirun de sa façon. Son tempérament épris d'indépendence ne pouvait accepter la domination hautaine d'un dogmatisme. C'est portant vers les solutions de la philosophie antique qu'il se tourne tout d'abord. En partie par réaction contre cet excès de fluidité, cette iniscipline intellectuelle qu'il sent en lui, il est tenté par la rigueur du stoïcsme; puis il connaît une phase sceptique, avant d'arriver à être vraiment lui-même, tout à la fois stoïcien, épicurien, sceptique, dilettante, avant d'être, tout simlement un sage.
Le stoïcisme
Les inluences les plus diverses se sont liguées por orienter Montaigne vers le stoïcisme: l'exemple et la mort de son ami La Boetie la lecture de Sénèque et de Plutarque, la nécessité de se défendre conte la douleur, lorsqu'il commença à soffrir de la gravelle, en fi l'incertitude des temps qui présenait sans cesse aux yeux des François d'alors l'image et la menace de la mort. En effet Montaigne demande au stoïcisme un secours contre la hantise de la douleur et de la mort. Les stoïciens ne disent-ils pas que la douleur n'est pas un mal, et que "philosopher c'est apprendre à mourir"? Cette morale de l'énergie et de la grandeur d'âme, qui inspira Corneille, apporte à Montaigne une règle de vie et de pessée.
Il s'entraîne à mépriser les accidents qui tiennent au hasard ou à notre nature. Quand ses coliques le prennent, il ne peut rester stoïcien jusqu'au bout, mais il s'efforce de tenir bon contre la souffrane. A l'occasion d'une chute de cheval, il pratique "l'exercitation" de la mort. C'est la crainte de la mort qui est cruelle, plus encore que de la mort même: habituons-nous donc à la regarder en face. Ainsi, comme on l'a dit, c'est un peu par épicurisme que Montaigne devient stoïcien: il cherche sourtout un moyen de mieux souffrir c'est-à-dire de moins soffrir.
|
